jeudi 20 septembre 2007

The Great Escape


Émile s’est sauvé.

À mon retour du boulot, il ne miaulait pas en m’entendant monter les marches. Il n’avait pas le nez dans la porte quand je l’ai ouverte. Something was wrong.

Tout de suite, j’ai vu le moustiquaire de la fenêtre de cuisine qui pendait. Tout de suite, j’ai compris. Un autre chat est monté sur la galerie de mon 3ième étage et mon Émile a sauté un plomb – très sociable le matou.

J’ai arpenté ma ruelle. Espérant que le son de ma voix provoque quelque chose.

Nada. Niet.

J’ai trouvé au moins 8 chats. Mais pas Émile. Nulle part.

Assise sur la galerie, je scrute. J’écoute. J’attends.
Je ne sais pas quoi faire d’autre.

« Allez le gros. Assez niaisé. Viens, qu’on se fasse une grosse cuillère sur le divan. Viens t’en Émile. »

3 commentaires:

Anonyme a dit...

Il reviendra ce Émile, il ne peut tout simmplement pas se passer de toi...personne ne pourrait.

Liliberté a dit...

Comme tu es gentille ma chérie!
Ben, peut-être as-tu un peu raison!

M. Émile ne poucait pas se passer de moi - ou de sa bouffe! Je l'ai retrouvé hier soir presque-mort-de-peur sous la galerie du voisin!

Depuis, nous ne cessons plus de se coller... Ahhh, une histoire qui finit bien! :)
xx

Anonyme a dit...

heureuse que tout finisse bien...